Depuis les tentes de Kédar évoquées au psaume 120, le pèlerin arrive sur le parvis du Temple de Dieu. En arrivant, il jalouse les serviteurs qui servent auprès de Dieu et dans la présence de Dieu. C’est pourquoi, il dit au Psaumes 134:1-2
1Cantique des degrés. Voici, bénissez l’Éternel, vous tous, serviteurs de l’Éternel, Qui vous tenez dans la maison de l’Éternel pendant les nuits!
2 Élevez vos mains vers le sanctuaire, Et bénissez l’Éternel!
Psaumes 134:1-2
Pour celui qui arrive au Temple, tous les tourments, toutes les attentes sont oubliées. La présence de Dieu est manifeste. Une seule chose compte, la louange et l’adoration.
Dans nos temps personnels avec le Seigneur, c’est ce vers quoi nous devons tendre. Les soucis de la journée, nos besoins, tout doit être oublié. La louange doit faire place à toute le reste. Peu importe les sujets qui nous poussent à la louange. Ils sont multiples. Seul compte la présence du Seigneur qui pousse notre esprit à demander à notre âme d’exprimer tout l’amour que nous avons dans le cœur. Si comme le pèlerin, nous sommes physiquement éloignés du sanctuaire car seuls les sacrificateurs peuvent y accéder, notre esprit est en communion avec le Seigneur.
Si ce n’est pas le cas, nous devrions prendre l’habitude de louer le Seigneur, et ce pour deux raisons. La louange honore Dieu, et elle a une grande puissance sur notre être tout entier. Elle détache nos pensées de nos préoccupations et les dirige vers le Seigneur, Elle guérit notre âme.
Alors, louons l’Éternel et bénissons son nom.
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C’est ici la journée que l’Éternel a faite: Qu’elle soit pour nous un sujet d’allégresse et de joie!
