En Psaumes 8:4-5, le psalmiste s’émerveille devant la grandeur de Dieu et s’interroge sur la place de l’homme dans l’univers. Ce contraste révèle l’amour divin et la dignité accordée à l’humanité.
Psaumes 8:4-5 Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains
4 Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées:
5 Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui?
Psaumes 8:4-5
La question du psalmiste, ne dénigre en aucune façon l’homme. Elle magnifie Dieu. Face à l’immensité cosmique, l’homme semble minuscule. Pourtant, Dieu le visite et lui confère de la gloire.
Ce passage révèle un double mystère, savoir d’un côté, la majesté infinie du Créateur et de l’autre, la valeur inestimable qu’il accorde à sa créature. Dieu n’a pas seulement créé l’homme, il l’a couronné de gloire et d’honneur. Cette dignité ne vient aucunement de nos mérites, mais de la grâce divine.
Dans un monde où l’identité humaine vacille, le Psaumes 8:4-5 ramène à la vérité essentielle que l’homme a du prix aux yeux de Dieu. Il n’est pas un accident biologique, mais une créature voulue, connue et honorée.
Cependant, cette valeur s’accompagne d’une responsabilité, car être couronné, est aussi être appelé à refléter Dieu. C’est exercer une autorité avec respect et amour, en harmonie avec la volonté divine.
Ainsi, contempler la création ne mène pas à l’orgueil, mais à l’adoration. Dieu est grand. L’homme est petit, mais aimé. Et dans cet équilibre se trouve la paix.
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14 Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.
